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L’avenir des assemblées générales annuelles, ou les inconvénients des réunions physiques en termes de gouvernance d’entreprise


Annual General Meeting

 

L’avenir des assemblées générales annuelles fait l’objet de nombreux débats. L'origine de ces réunions remonte au droit des sociétés du XIXe siècle et, pour certains, elles ont fait leur temps. Toutes les sociétés cotées en bourse sont tenues d’organiser une assemblée annuelle des actionnaires. Certaines d’entre elles, comme Marks & Spencer au Royaume-Uni et Total en France, organisent des évènements de grande ampleur, avec des milliers d’actionnaires présents. Mais dans la plupart des cas, la majorité des votes sont préalablement réalisés par procuration : l’assemblée permet donc aux organisateurs de compter ces votes et aux actionnaires individuels de poser des questions au Conseil d’administration. Cependant, d’autres types de réunions peinent également à attirer les foules. Aux États-Unis en particulier, cette tendance a contribué à l’adoption progressive des assemblées d’actionnaires 100 % virtuelles. Ce format attire les entreprises en raison des économies réalisées et de sa portée supérieure, mais il ne fait pas l’unanimité chez les investisseurs institutionnels et les actionnaires individuels. Par exemple, comme l’a relaté le Financial Times, un Ordre de religieuses catholiques a récemment incité les entreprises à revenir aux modèles de réunions physiques.

Chez Lumi, nous gardons un point de vue neutre, car nous fournissons des technologies adaptées à tous les types d’assemblées d’actionnaires partout dans le monde, quel que soit le nombre de participants. Nous proposons des solutions pour les sessions physiques, virtualisées et hybrides qui encouragent la présence et la participation, sur site comme à distance.

Point intéressant : le débat est majoritairement axé sur les potentiels inconvénients des réunions virtuelles, qui limiteraient l’accessibilité pour les actionnaires et les empêcheraient de demander des comptes aux entreprises. Et si nous changions de perspective ?

Aujourd’hui, la grande majorité des assemblées générales annuelles d’actionnaires sont des réunions physiques. Cependant, si l’on tient compte de la diversité géographique et démographique au sein d’une population d’actionnaires, il est évident que le format physique impose lui aussi des restrictions importantes et freine la participation. Cette situation est donc propice aux procurations et aux mandataires, car il est difficile pour les personnes concernées de se rendre à l’assemblée. Malheureusement, il ne s’agit pas d’une solution optimale. Pour répondre à ce besoin, nous développons depuis des années des technologies qui facilitent considérablement la participation à distance. Notre solution est intégrée aux systèmes utilisés en salle pour enregistrer les actionnaires, faciliter le déroulement des sessions de questions-réponses et réaliser des votes. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il est très simple de déployer des accès mobiles et Web parallèlement aux réunions physiques. Ce type de format gagne d’ailleurs en popularité à l’échelle mondiale.

Pourquoi les entreprises se priveraient-elles de ces modèles hybrides qui facilitent la participation de leurs actionnaires individuels et institutionnels ?

Une fois les avantages des assemblées générales annuelles virtuelles acceptés et reconnus par tous, il sera intéressant de se tourner vers les bonnes pratiques de gouvernance d’entreprise vis-à-vis des réunions physiques et de leurs limitations.

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